Moyens-métrages
Des Africains s'exilent vers la France afin de subvenir aux besoins de leurs villages. L' « Eldorado » se révèle un lieu d'exploitation où chacun survit. Le rêve s'écroule mais les croyances restent. Aymeric de Valon est co-réalisateur et initiateur de ce film.
En Inde, la danse est un art du quotidien. Ce quotidien nous mène dans les pas de Ram Gopal, celui qui a introduit cet art en Occident en 1936. Partir en Inde avec Ram Gopal, c'est découvrir l'origine de l'Homme, loin des discours aptères et bruyants de notre « société du spectacle » qui efface avec arrogance au lieu de voir apparaître avec humilité.
Revenir vers notre naissance… Tenter de nommer ce qui peut féconder notre présence. Les femmes, au sein de ce temps de l'accouchement, se libèrent et dépassent les limites dans lesquelles on les maintient et dans lesquelles elles se maintiennent.
Que pouvons-nous imaginer pour briser les murs de l'autisme ? Anne-Marguerite Vexiau a créé la « psychophanie » où la lumière passe dans les interstices de ces murs et permet à l'« emmuré » de devenir sujet à part entière. Ce film est dédié à Catherine Lalanne qui avait créé "L'écriture de la rencontre"; un autre nom de la psychophanie.
Création du ballet Coppélia de Léo Delibes à l'opéra de Lyon. Maggy Marin et ses danseurs dévoilent la naissance de cette interprétation singulière.
L'écrivain Bernard Noël nous partage ses réflexions sur l'écriture au moment où se sculpte un « livre géant » pour la maison Rabelais. Jean Luc Bayard est notre précieux complice... (ce film se trouve en 3ème de couverture du livre "En présence" aux éditions L'amourier).
Dans la ville de Saint-Étienne vivent beaucoup d'Algériens, descendants de ceux qui vinrent, pendant la guerre d'Algérie, travailler au fond des mines.
Marie-Laure Guerrier, « guerrier pacifique ! » au sein de son atelier de céramique, nous apprend combien les « créateurs » sont serviteurs de ce qui nous précède et nous oblige.
Franck Chastellas est vraiment un prophète des soins en « chiropratique Network ». C'est en pratiquant dans son centre de Pertuis que la nécessité de réaliser ce film m'a habité… ici, nous avons deux chiropraticiens : Franck Chastelas et Anthony Page.
Pierre Rabhi a permis à tant de jeunes hommes et à tant de jeunes filles de se respecter eux-même et de respecter la manifestation du vivant en eux et autour d'eux !... ici nous sommes aux « Amanins » avec Isabelle Pelloux, Michel Valentin, Albert Jacquard… et tant d'autres !
Longs-métrages - Poêmes visuels
« Poème de l'étonnement ». Toute aurore est un commencement mais l'origine nous reste inconnue. C'est le 3ème concerto de Rackmaninoff interprété par David Helfgott qui a engendré en moi ce poème.
« Poème du regard ». Bernard Noël a écrit pour ce film « portrait d'un regard » interprété par Jeanne Moreau. « Inde, mère patrie » de Roberto Rossellini a habité mes pas.
Courts-métrages - Fictions
Marque la rencontre avec le poète Bernard Noël. 13mm - NB Réalisation Denis Lazerme. Montage : Françoise Peloux Chef opérateur : Raymond Picon-Borel Texte écrit et lu par Bernard Noël.
Écoute d'un texte d'Unica Zürn. 16mn - NB. Réalisation et montage Denis Lazerme. Acteurs : Florence Lazerme-Stern et Jean-Louis Percot.
Travaille un texte de Roland Barthes. 16mm - NB. Réalisation et montage Denis Lazerme. Chef opérateur : Henri Alekan Acteurs : Catherine Belkodja et Patrick Le Besco
Met en images un texte de Georges Bataille. 16 mm - NB. Réalisation et montage Denis Lazerme. Chef opérateur : Agnès Godard Acteurs : Anna Baldaccini, Jeffrey Kime, Jaime Guittierrez-Victory, Élise Pousse, Anne Melloul, Hélène Duvernois, Serge Casado.
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Projets en cours
Le chant du transsibérien voulait retracer une histoire… le présent nous apporte un contre-point impossible à faire taire puisque l'Occident le refuse et lui crache dessus : La Russie éternelle. La musique Klezmer résonnera en écho de ce texte de Jean-Michel Dimoïla, qui rétablit l'intégrité d'un peuple et de son histoire.
L'absence serait intenable ; mais Bernard Noël nous laisse un regard qui percera longtemps notre quotidien… Un « regard-mémoire » pour permettre le présent. J'ai déjà réalisé avec lui trois films lorsqu'il ouvrait encore les yeux : « Hymen Hymen » « Sur la Terre comme en Inde » « En présence d'un homme » Pour ce dernier, Jean-Luc Bayard m'a accompagné avec Bernard Noël Aujourd'hui Jean-Luc Bayard ouvre le tombeau pour « NUL NE SAIT CE QUE LE PASSÉ NOUS RÉSERVE » Et nous tombons dans la « maladie du sens » Et nous tombons dans « Le tombeau de Lunven »
Le Père : « facultatif », comme le veut la décadence occidentale ? « essentiel », comme le veulent les textes fondateurs et la psychanalyse mise à mal par de courtes thérapies aptères. ? En quoi se fonde un enfant ? il s’élabore dans le ventre maternelle qui l’accueille, mais il se fonde au sein de cette présence paternelle qui le fortifie toute sa vie. Des voix multiples ; des histoires multiples pour sculpter le visage du père.
Toutes nos croyances se fondent sur ce que nous avons soit disant appris ; mais en réalité nous pourrions dire « colporté ». Nous colportons des certitudes qui ont la vie dure !... les pouvoirs le savent et s’en servent. Mettre en cause une rumeur à laquelle nous croyons est beaucoup plus difficile que de mettre en cause une « vérité ». Mettre en cause « Terezin » était impossible. Mettre en cause les narratifs officiels sur le 11 septembre ; sur le covid ; sur le vaccin ; sur l’Ukraine… reste à la portée d’un tout petit nombre. La croyance est notre enfer La foi est notre clairvoyance L’enfer est une création des hommes qui ne veulent pas interroger, qui ne veulent pas douter. « Le doute c’est la rémittence » F. Nietzsche Tout peut renaître si nous doutons.
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